Ephraïm Collins
Messages : 24 Date d'inscription : 03/05/2012
Ft : Ben Bruce Fiche : Vous allez vous mettre à m'espionner comme l'autre folle ? Âge : 23 ans Arme fétiche : Une hache.
Liens : Lulla ? Pire ennemie, amour de ma vie, camarade de chamailleries, reine des insultes, barge,...
Hunter ? Un vrai psychopathe... T'es pas très net dans ta tête, mais je vais fermer ma gueule et sourire, d'accord ?
Alex ? Dis, tu vas pas te tirer une balle, hein ?
Valentine ? Bimbo schizophrène.
| Sujet: Ephraïm ~ Breathing and grasping, all leads to another messy ending. Jeu 3 Mai - 21:57 | |
| “ Fait chier. ”Célébrité de l'avatar : Ben Bruce ◊ Prénom : Ephraïm ◊ Nom : Collins ◊ Âge : 23 ans ◊ Sexe : ♂ ◊ Clan ou Solo : Clan d'Hunter ◊ Spécificité physique : De nombreux tatouages sur les bras et le torses, et surtout, une tête de mort déformée et mal faite sur la cheville droite.Deux piercing sous la lèvre inférieure, sur la gauche.
“ Caractère ”Ce qu'on peut dire d'Eph', c'est que c'est un sacré emmerdeur... Le mec qui a toujours quelque chose à dire sur tout, vous voyez ? Celui qui dit toujours ce qu'il pense, tellement que s'en est pénible, et qu'on a qu'une seule envie c'est de lui crier de se taire. Il aime se moquer des autres, en tant que bonne grande gueule. C'est affreux comme il veut toujours avoir le dernier mot, se transformant lors de dispute en vrai teigne, montrant les crocs comme un gros chien. Et il ne lâchera pas l'affaire facilement, une fois qu'il est lancé. Ah, et puis ce mec a un soucis avec les addictions. Il les collectionne ! Par moment, c'est l'alcool. D'autres, c'est de la drogue, de la weed à la coke, parfois sans transition. La clope, aussi. Ou alors quelqu'un. Une femme, un homme. Il est très dépendant, malgré qu'il tente de faire le beau. Il répond à ses instincts et désir en se réfugiant dans tout cela. De la bouteilles aux bras d'un être aimé, il y a bien souvent qu'un seul pas. C'est triste, n'est-ce pas ? Au fond, on dirait pas, mais Eph' est sensible. Il perd pied quand quelqu'un qu'il apprécie, un de ses meilleurs amis est dans une situation compliquée, ou en danger. Il se soucie des autres, enfin, pas de tous. Eph' reste quelqu'un de très égoïste, qui regarde autre chose que son nombril que pour de rares exceptions. Exceptions de plus en plus réduites, depuis l'infection, forcément. Il s'endurcit, cherche à survivre plutôt que vivre. Les autres ne comptent pas forcément. Et puis enfin, ce type est lunatique. Il est parfois violent, dans ses excès. Il contrôle pas ses mouvements, tout part tout seul. En fait, c'est une bombe qui menace d'exploser, à tout moment. En fait, ce gars là, il est juste perdu. Sa tête est un sacré bordel, et son coeur ou ce qu'il en reste, encore plus. C'est pas de sa faute si il est comme cela. C'est juste qu'il est né à l'envers. Qu'il fait tout de travers, sans s'en rendre compte... C'est triste, mais c'est comme ça. “ Histoire ; Avant l'infection ”J'ai grandis à Londres. Camden Town, cela vous dit quelque chose ? Ouais, le quartier cool de la ville. Là où les gens les plus bizarres vivent. Les excentriques, les marginaux, les drogués, les Rock stars,... Ça peut paraître amusant, comme cela. Des parents hors du communs. Tatoués de partout. Laxistes. Faisant la fête, de la musique, tout cela. Qui vous nomme de manière originale. Des parents qui oublient de venir vous chercher à l'école. Qui vous emmène à des concerts et vous perdent dans la foule. Qui, le soir, planent tellement qu'ils oublient jusqu'à votre existence. Qui vous tatoue eux-même d'une tête de mort pour l'anniversaire de vos onze ans. Ces parents là, c'était les miens. Ceux que j'ai aimé. Ceux que j'ai haït. Ceux que j'ai regretté. Que j'ai laissé derrière moi. A dix-huit ans, j'ai quitté le petit appartement familiale, sans me retourner, avec l'idée de faire un succès dans la musique. Des rêves pleins la tête, et ce putain d’ego sur dimensionné. J'ai réussis, quelques temps. Avec mes vieux potes. J'ai eus ce petit succès. Celui qui suffit pas à vous faire connaître de manière internationale, de devenir un gros groupe, mais assez pour que le nom du groupe évoque un petit quelque chose en Angleterre. Un truc qui plaît aux jeunes, surtout les filles. J'en ai profité. Dieu sait que j'en ai profité. J'ai joué le jeu, je me suis amusé. J'ai savouré. Je me croyais invincible. J'avais la tête haute. Le corps tatoué, les cheveux toujours coiffés de manière calculé. Des jeans déchirés. Un petit sourire en coin. C'était même plus pour la musique au final. C'était devenu qu'un accessoire. • • • Puis y a eu Lulla. Lulla putain... Elle et sa tignasse aux couleurs qui piquent les yeux. Lulla et sa voix qui peut passer du rire aux insultes. Lulla. On s'est aimé. Détesté. On a joué. On a fait les cons. On s'est détruit. On s'est relevés. C'était comme un rêve, enfin, avec tous les trucs pas possibles qui arrivent dedans. Les trucs loufoques. Les trucs biens, les trucs flippants. On était comme complémentaires, inséparables. Moins de l'amour platonique que de la grande complicité. Et voilà. Un jour nos pupilles dilatées par les merdes qu'on prenait ont ouvert les yeux. • • • « T'es vraiment qu'un sale égoïste, Eph'. T'es pathétique. Arrête de regarde ton foutu nombril, un peu. T'es pas le centre du monde, descend de ton piédestal, un peu, et grandis ! Regarde ce qui se passe autours de toi et réagis ! Sinon tu vas tout perdre. Tout... Et tu t'en rendras compte trop tard. C'est bon, t'as finit ? J'peux partir maintenant où je dois encore écouter tes mélodrames ? J'ai pas que ça à faire, tu sais. Je suis désolé d'être comme ça, maintenant si ça te plaît pas, tu te barres. » Et c'est ce qu'elle fit. Elle est partie à l'autre bout de la rue. Sans se retourner. En jurant ouvertement dans les rues mal-éclairées du quartier. Putain. 3 ans foutus en l'air. Je donnais un violent coup de pied dans une poubelle qui traînait là, crisant contre moi même. J'étais vraiment le dernier des cons. Je sortais mon portable, et composait nerveusement un numéro, celui que je connaissais par cœur. « Allô ? Andy ? Je veux qu'on se barre de là. - Qu'est-ce que t'entend par se barrer ? Et t'as conscience qu'il est 2 heures du matin ? - Fait pas genre, tu dors jamais à cette heure là. Je te parle de partir. Un road trip. Aux US. Une tournée, ce que tu veux. - Avec Lulla ? - Sans Lulla. - D'accord. - Merci. » • • • Alors c'est ce qu'on a fait. Le jour de mes 22 ans, deux semaines plus tard, on a pris toutes nos affaires. Nos guitares, nos fringues, toutes nos économies, nos billets d'avions. Rien de plus. Un mot laissé sur la table de l'appartement qu'on partageait. Et c'était finit, de l'Angleterre, pour nous deux. On allait s'éclater, aux USA. Comme dans les films, des comptes à rendre à personne. C'était un peu trop utopique quand on y repense. C'était trop beau pour durer. Il y allait forcément y avoir un problème. Et forcément, cela nous est tombé dessus. La chose la plus inattendue au monde. “ Histoire ; Après l'infection ”On comptait même plus les jours. Ni même nos bouteilles. Seulement les kilomètres sur le compteur du vieux van. On déconnait, on faisait les cons. Et des concerts. Ouais, des petites dates. Et notre dernière est finalement arrivée. Celle où au moment de quitter la scène j'ai reconnu une tignasse colorée s'approcher des coulisses. Putain. Lulla. « Mais qu'est-ce que tu fous là toi ? Tain, mais, t'es pas sérieuse là ? Tu m'as espionnée, t'as fait quoi ?! » Retrouver une personne dans un état aussi grand que les US était impossible. Improbable. Alors on s'est disputé. Dans les coulisses. On s'est crié dessus. On s'est insultés. Et Andy a débarqué. Avec sa putain de face de déterré. Sauf qu'il avait pas son sourire béat. Bad trip ? Et puis j'ai vu le sang. Sur son bras. Une morsure ? Merde, c'était quoi ça ? « Tain, Eph', Lulla, arrêtez vos merdes là, y a des putains de monstres qui bouffent tous le monde... Merde... » Sa voix se perdit, et il tomba au sol. Andy ?! L'esprit pas très clair, j'ai même pas réagit de suite. Jusqu'à qu'il se relève avec sa bouche grande ouverte, et des yeux vides. Il a commencé à s'approcher de Lulla. Je l'ai poussé, avec un regard noir. A quoi est-ce qu'il jouait encore ? Il s'est tourné vers moi, et a poussé un espèce de grognement sourd. C'était un monstre. Un espèce de truc sans vie. J'aurais voulu crier. Crier à cet imbécile d'arrêter son cirque. Mais c'était trop tard. Mon cœur s'est déchiré en même temps que sa tête, sous le coup violent de guitare que je venais de lui donner. Je n'avais pas le choix. J'ai pris la main de Lulla. Et j'ai couru. Y avait de ces trucs de partout. Il fallait se barrer. Je l'ai poussé dans le van, et on a roulé. On a quitté la ville. Laissé derrière nous Andy... Andy, putain. Mais il fallait rouler. S'enfuir. • • •
Je me suis réveillé. Y avait Lulla posé contre moi, dans le van qui puait l'alcool. J'ai joué avec ses cheveux sans réaliser la situation. Et puis je me souvenu. Je me suis redressé en sursaut, tellement que j'en ai fait tombé Lulla. Qui s'est aussitôt réveillée, et m'a adressé son regard noir. « Désolé la rouquine... Ce sont les risques des oreillers vivants... Va te faire. » J'ai ricané, et l'ai relevé. Mais mon rire était jaune. On était dans une sacré merde. Et au milieu de nul part. J'ai tourné la radio, comme un vieux réflexe. C'était ce qu'ils faisaient dans les films, non ? Puis on a entendu que des grésillements. Une voix, lointaine aussi. Mécanique, répétitive. Je l'ai éteins en soupirant, et me suis tournée vers Lulla. « J'crois qu'on est dans la merde. Mais au moins on y est à deux. » Je soupirai, et lui ébouriffai les cheveux d'un air taquin. Bah voilà. Il se passait une espèce d'attaques de monstres, digne de bons films de zombies, j'avais buté mon meilleur ami, et il avait fallut que je me retrouve avec mon ex barge. La vie était belle, youpi. • • •
Entre insultes et bains de sang, on peut dire qu'on s'en est plutôt bien sortis. C'est pas croyable d'ailleurs. Entre les rôdeurs et Lulla, j'ai manqué pas mal de fois de finir en morceaux. Sincèrement. Je t'aime moi non plus ? Ouais, on peut appeler ça comme ça. Si ça vous amuse. Bref. On est devenu des pros de la survie... Ouais non, pas vraiment. En fait, on se débrouille,et on tape du zombie. Perso, je trouve que ça défoule, armée de ma hache, c'est... Divertissant. Mais Lulla elle.. C'est une vrai barge. Elle prend un plaisir fou à butter ces trucs. Elle est déchaînée cette femme, j'vous le jure... Et le pire c'est qu'elle est pareille avec les humains... Enfin... Et après ? Histoire complémentaire de Lulla ♪ “ Le Hors Rp ! ”
◊ Âge : 18 ans ! Ouais, presque. ◊ Expérience de rp : Longtemps ! ◊ Avis sur le forum : AHAHAH ♥ ◊ Code : [ Code auto-validé ♥ ]
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Dernière édition par Ephraïm Collins le Ven 4 Mai - 23:08, édité 3 fois |
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Ephraïm Collins
Messages : 24 Date d'inscription : 03/05/2012
Ft : Ben Bruce Fiche : Vous allez vous mettre à m'espionner comme l'autre folle ? Âge : 23 ans Arme fétiche : Une hache.
Liens : Lulla ? Pire ennemie, amour de ma vie, camarade de chamailleries, reine des insultes, barge,...
Hunter ? Un vrai psychopathe... T'es pas très net dans ta tête, mais je vais fermer ma gueule et sourire, d'accord ?
Alex ? Dis, tu vas pas te tirer une balle, hein ?
Valentine ? Bimbo schizophrène.
| Sujet: Re: Ephraïm ~ Breathing and grasping, all leads to another messy ending. Ven 4 Mai - 22:02 | |
| Haha merci ♥ Avec plaisir ! *3* |
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