Omar Grant
Messages : 25 Date d'inscription : 18/04/2012
Ft : Michael K. Williams Fiche : Death before Dishonor Âge : 31 ans Arme fétiche : Fusil à pompe M30 BG
Liens : My crew, my wolves
Danny "Hedgehog" Taylor
Cheri "Mamba" Bryant
Jill "Sword" Ling
"June" Peters
"Joe" the dog
| Sujet: O.G | Death before Dishonor Mer 18 Avr - 22:24 | |
| “ Have a nice day, motherfucker ”Célébrité de l'avatar : Michael K. Williams ◊ Prénom : Omar ◊ Nom : Grant ◊ Âge : 31 ans ◊ Sexe : Masculin ◊ Clan ou Solo : Clan d'Omar ◊ Spécificité physique : large cicatrice en travers du visage et une similaire sur le torse
“ Caractère ”
Omar, c’est un tempérament aussi explosif que les détonations de son fusil. Aussi impitoyable que juste, s’il n’a jamais hésité à tuer, il n’a cependant jamais menacé le moindre innocent. Sous ses apparences de lascar à la culture urbaine des ghettos se cachent en réalité une ultra-sensibilité et des valeurs, un véritable code d’honneur auquel il ne dérogerait pas pour toute la fortune du monde. Plus que de ces initiales, c’est de là qu’a été tiré son surnom de « O.G », pour Original Gangster. Le genre de ganster à l’ancienne se tenant à des règles morales et qui fait front à la loyal, sans détours ni coups bas. Il préfèrerait mourir plutôt que de se rabaisser à ça, tout comme il préfèrerait mourir plutôt que de vivre caché ou à genoux. Sa réputation et son nom sont les seules richesses qu’il ait jamais vraiment posséder et il tient dessus comme sur la prunelle de ses yeux. La fourberie, la faiblesse et la trahison sont ses plus féroces répulsifs et lorsqu’elles le touchent, il n’a aucune pitié à les faire disparaitre sans détails autour de lui. Fier comme un coq et pourvu d’un égo monstre, aussi utile dans ce véritable combat qu’a été toute sa vie que dangereux et capable de la raccourcir brutalement, il ne s’est jamais soumis à aucune règle et aucun homme. C’est cet égo qui lui donne ses côtés si théâtraux et ce style bien à lui aussi désarçonnant que drôle. Ces braquages et ces coups de forces sont toujours de véritables pièces aussi spectaculaires et décalées que violentes. Il est peut-être une légende des rues de Nashville, mais il ne s’est jamais pris au sérieux pour autant. En privé, c’est un véritable boute-en-train, un perpétuel showman qui se plait à amuser la galerie. Hardi et pugnace à l’extrême, forgé dans le chaos et la souffrance, c’est un type réfléchi qui fait souvent preuve d’une philosophie particulière capable d’influencer et d’inspirer les autres mais aussi un fin stratège qui ne fait ou ne laisse jamais rien au hasard. Il est très difficile de s’en faire un allié, et littéralement impossible de s’en débarrasser une fois un ennemi… Comme tout ce qu’il entreprend, Omar mène ses guerres jusqu’au bout et ne s’arrête ni ne recule jamais.
“ Histoire ; Avant l'infection ”
Avant, ce n’était pas vraiment différent d’aujourd’hui… Le monde – ou en tout cas celui d’Omar– était déjà divisé en deux catégories. Dans les ghettos noirs de Nashville où il est né, a grandi et a passé toute sa vie, il y avait déjà des sortes des zombies … Des putains de junkies déambulant dans les rues à la recherche d’une dose… Et puis il y avait les dealers et les trafiquants qui leur vendaient. C’est autour de ses seize ans qu’une troisième catégorie de personnes a vu le jour dans ces quartiers West malfamés et réputés infréquentables : Omar. Pendant près de quinze ans, il s’est créé un nom, une réputation et disons-le sans fausse modestie, une véritable légende dans ces rues où la pauvreté, le crime et la déchéance ont toujours régnés avec les gangs. Omar n’était pas un dealer, non… Et il n’a jamais touché à la drogue non plus. Il fut sans doute en réalité, et de l’avis de tous ceux qui ont un jour séjourné dans cette jungle urbaine, le pire fléau pour les trafiquants de drogue, loin devant la police et les cures de désintoxication. Un noir qui marche au beau milieu du boulevard, un gilet pare-balle scotché au torse sous un long imperméable qui camoufle un fusil à pompe… L’image a longtemps alimenté la terreur de tous les réseaux criminels et le respect des citoyens de la zone voulant se débarrasser de ce poison. Son truc à lui, c’était de braquer les dealers et de dévaliser leur stock de drogue pour la revendre ensuite à un grossiste et faire son beurre. Tout ce temps qu’il a passé à braquer son calibre 50 sur la tronche de ces petits cons, tous ces ennemis qu’il s’est fait au fil des lascars qu’il n’a pas hésité à laisser sur le carreau – ou plutôt sur le trottoir – lorsqu’il le devait, il l’a qui plus est fait avec panache et dans un style qui n’a fait qu’enjoliver son mythe. Charismatique, doté de valeurs qui ne lui ont jamais fait diriger son flingue vers un innocent, Omar a autant bénéficié de la seule crainte qu’inspirait son nom et son image que de son habileté dans le domaine des armes. Son fusil à pompe est devenue son arme de prédilection, sa « signature », recensé dans une douzaine d’affaires de meurtres non-élucidés dans ces quartiers à la suite de braquages ayant mal tournés. Il faut dire qu’il a toujours été un véritable fantôme, bien caché et protégé même par la population du ghetto, pour ne surgir que de nulle part lorsqu’il enfonçait les portes des planques de dope. On ne sait que très peu de choses de son passé et de son enfance, avant qu’il ne devienne ce terrible requin des rues. Il y a toujours eu beaucoup de rumeurs sur son compte, du fait qu’il soit toujours resté invisible et quasi-intouchable... On a dit qu’il aurait été élevé par sa grand-mère, ou par un militaire... On a dit qu’il serait homosexuel… En réalité, très peu de personnes ont réellement connu Omar en dehors de ces apparitions sauvages, fusil au poing et pare-balle au buste. L’espace de deux ans, juste avant l’infection, il a « travaillé » en équipe avec un autre mec, suffisamment blanc pour être très vite repéré dans ce coin, et deux autres nanas. Sa petite faction de braqueurs a implosée après la mort de l’une d’elle, tuée de l’arme d’un dealer qui leur résistait dans un vol. Ou plutôt blessée lors de celui-ci, capturée pour être ensuite torturée avec barbarie et exposée publiquement lynchée sur le capot d’une voiture. Après cela, Omar est partit en guerre contre le reste de l’organisation… Et lorsqu’il ne dévalisait d’autres de leurs stocks, il abattait froidement les « muscles » du réseau supposés sécuriser leur petit trafic. Il en voulait au chef… Un certain Sonny. Une affaire personnelle, qui a finit par lassée ses complices, surtout intéressés par l’argent. Seul contre tous, Omar a menée sa vendetta et réussit à déquiller plusieurs des hommes de Sonny dans le but de l’exposer et de le faire sortir de sa tour d’ivoire pour l’affronter dehors « comme un homme », comme il le clamait au milieu de chaque coin de rue déserté par sa présence, mais l’infection est brusquement venue tout bouleverser et le sauver, peut-être, d’une mort inévitable contre tout un gang…
“ Histoire ; Après l'infection ”
Après cela, il a bien fini par trouver Sonny finalement, et à lui faire bouffer les plombs de son fusil… Infecté et transformé en l’un de ces espèces d'épouvantails dégueulasses, ces fameux « zombies » qui ont commencés à envahir les rues du ghetto plus vite que le crack dans les années 80, il l’a abattu presque par hasard alors que cet enfoiré se jetait sur lui pour le mordre et ne l’a reconnu qu’une fois raide étendu à ses pieds. Un bâtard jusqu’au bout ce Sonny… Mais pour Omar, il a dès lors fallu s’adapter à ce nouveau type de prédateurs, bien plus féroces que les gangsters qui occupaient les coins de rue avant eux. Face à la surprenante hécatombe humaine naissante, il a d’abord du s’organiser seul pour survivre et échapper à ses monstres. Piller les magasins abandonnés, les maisons vidées par les habitants fuyant l’horreur, mais surtout les armureries et la bases de marines... La débrouille a elle aussi prit un tout autre sens qu’auparavant dans ce milieu social déjà démuni. Il a longtemps résisté à Nashville et dans son quartier, n’obéissant qu’à sa fierté, refusant de partir en clamant « que ce n’est certainement pas ces saloperies de zombies qui vont le chasser de SA ville et qu’il s’est frotté à bien plus balaises que ces faces de rats » avant de se rendre à l’évidence que cette guerre était perdue d’avance, en tout cas seul... Un peu plus d’un mois après le début du cauchemar et de cette infection, Omar a fini par quitter la ville les armes à la main sans se priver d’un dernier petit carton urbain sur une troupe de rodeurs. Il s’est juré d’y revenir pourtant, même si c’est pour y mourir… Nashville est sa ville, son fief, celle qui a fait sa légende même si celle-ci n’a aujourd’hui plus beaucoup de sens dans ce nouvel ordre mondial. Il n’y a plus de quartiers riches et plus de ghettos… Il n’y a plus de blancs, plus de noirs… Il n’y a plus que des survivants, et ces foutus zombies à la con. Preuve de cette nouvelle mixité, après des jours de marche, des semaines sans voir un visage un visage humain, c’est un fils de papa qui le premier a croisé sa route de nomade expatrié. Cette nuit là, retranché dans un motel dépeuplé, Daniel manque de peu de lui tirer dessus avant qu’Omar ne le sauve d’une attaque de rodeurs. Le jeune homme s’est dès lors et dès l’aube mis en tête de le suivre et de ne plus s’en défaire. Solitaire affirmé, Omar a d’abord catégoriquement refusé, allant même jusqu’à le menacer dans un premier temps, bien qu’il se refuse à présent à tuer tout être humain qui ne l’aurait pas cherché ou qui ne soit pas infecté... Mais à force d’entêtement, d’harcèlement même de ce gamin qui semble l’admirer et le voir comme un super héros, l’homme a finit par se résoudre à le prendre à ses côtés sur sa route. De toute façon, c’était soit ça… Soit le sentir toujours dans son dos à l’observer et à le suivre à la trace. Ce fut le début du clan d’Omar. C’est avec son nouvel acolyte et protégé que s’est alors organisé la survie. Entre deux villes visitées à la recherche de survivants, de vivres et de munitions, deux voitures volées pour poursuivre leur chemin, Omar lui a appris à manier les armes et l’a entraîné au tir pour un faire un « tueur à zombie » confirmé… Car « survivre » n’a jamais suffit à Omar. Dès le départ, c’est une véritable guerre qu’il a voulu mené à ces morts-vivants, et celle-ci s’est très vite articuler autour de leur tandem, chassant les regroupements dont ils pouvaient venir à bout… A deux, ils ont rapidement pu en éliminer quatre ou cinq. Puis à trois, lorsque Cheri est venue les rejoindre après qu’ils l’aient ramassée à Memphis, c’est par six ou sept réunis que son clan a pu les tuer… Aujourd’hui à quatre avec l’arrivée de Jill, la petite dernière, c’est par petite dizaine qu’Omar et son clan sont capables de frapper. Diaboliquement entraînés, méchamment organisés, ils errent de ville en ville, traquent ces zombies pour en éradiquer un maximum et, dans ce même courant de valeurs guerrières et résistantes qu’ils portent et incarnent, n’hésitent pas à piller et voler les groupes d’humains survivants qu’ils croisent sur leur route et pour lesquels ils ont le plus grand mépris de faiblesse… Chassez le naturel d'un braqueur, et celui-ci revient au galop, et même triple galop avec ces compagnons de chasse...
“ Le Hors Rp ! ”
◊ Âge : 22 y/o ◊ Expérience de rp : pas loin de 5 ans si je compte bien. ◊ Avis sur le forum : Effrayant d'efficacité [MJ : Merci 8D] ◊ Code : [T'es sûr ? Validé !]
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Dernière édition par Omar Grant le Dim 22 Avr - 10:14, édité 11 fois |
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Maître du jeu
Messages : 57 Date d'inscription : 16/04/2012
| Sujet: Re: O.G | Death before Dishonor Mer 18 Avr - 22:43 | |
| Hé bien, bonsoir cher tout premier membre n'ayant pas nécessité une torture pour rallier ce forum ! Je me dois de te dire que le début de ta fiche est... est... est... ôo WAAAAAAAAAH ?!! En gros. C'est sûr qu'avec un début comme ça, tu peux que avoir ton clan à toi, ton personnage a tout pour être un leader. En tout cas, très bon début de fiche, au plaisir de lire la suite prochainement. Si tu as des questions n'hésite pas ! |
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Omar Grant
Messages : 25 Date d'inscription : 18/04/2012
Ft : Michael K. Williams Fiche : Death before Dishonor Âge : 31 ans Arme fétiche : Fusil à pompe M30 BG
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| Sujet: Re: O.G | Death before Dishonor Ven 20 Avr - 21:07 | |
| *Omar ON*T'as une de ces gueules toi l'ami... T'es aussi laid que ma première maitresse en primaire... C'est toi, Mme Vegga?! En tout cas... Merde, en tout cas t'as vraiment besoin d'un lifting, je t'arrange ça quand tu veux. *OMAR OFF*Merciii Bien, je crois avoir achevée ma fiche, en attendant mon premier zomb' En espérant que vous preniez autant de plaisir à lire tout ça que j'en ai eu à l'écrire. Je surkiffe déjà ce forum Much Love O' |
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Maître du jeu
Messages : 57 Date d'inscription : 16/04/2012
| Sujet: Re: O.G | Death before Dishonor Ven 20 Avr - 21:35 | |
| BON. Deuxième édition de ce message, Oméga doit l'utiliser aussi alors ça a bugué... Bref ce que je dis ne sert à rien. ôo Donc, je disais. *Inspire* Je croyais être avec le compte de Hope quand j'ai lu ta réponse, ça m'a vexé. ôo Essaye un peu pour voir ! Je vais te grignoter moi. è_é
Plus sérieusement - oui ça nous arrive - je vais me dépêcher de valider ton code, lire ta fiche et tout et tout, mais je pense que tu peux dès à présent te préparer à remplir le formulaire concernant ta création de Clan. D'ailleurs, je ne l'ai pas précisé mais il serait bien que tu choisisses une couleur pour le groupe ! Et bien sûr créer quelques prédéfinis si tu le souhaites, je pense que tu connais la chanson ! J'espère pouvoir lire ta fiche maintenant, mais j'attends mon repas, et ça, ça n'attend pas. (C'est dingue comment l'avatar colle bien là. 8D)
Au plaisir de très vite éditer ce message !
EDIT : C'est encore moi ! (pour changer), alors voilà... Tu es validé ! Et je vais créer ton groupe. Malgré tout, il va me falloir un peu de temps pour mettre tout ça à jour étant donné qu'il va falloir que je bidouille les templates, mais no soucy, c'est mon job. Juste qu'il va vraiment me falloir une couleur, ainsi qu'un gif, ainsi qu'une description. Mais oui je suis chiant... Par contre, pour éviter le flood inutile /encore pire que les rôdeurs.../ je te demanderais de me répondre par mp ! Voilà, j'arrête le baratin. :) |
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