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 Faux Espoir n°1 [Omar]

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Evane Owen

Evane Owen



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MessageSujet: Faux Espoir n°1 [Omar]   Faux Espoir n°1 [Omar] I_icon_minitimeMar 24 Avr - 20:02

    Début d'après-midi. Je pédalais dans un rythme régulier sur un chemin plutôt dégagé qui permettait un champ de visibilité d'une cinquantaine de mètres environ. Guidée par le silence, j'avais donc entrepris de trouver une maison où dormir pour ce soir. Mais mieux que ça, j'étais tombée sur "Knoxville". Le coin avait l'air plutôt tranquille. En fait, depuis ce matin où j'avais quitté la grange remplie de bottes de pailles où j'avais dormi. Je n'avais croisé que deux ou trois zombies qui semblaient stagner dans un profond fossé, sans doute bloqués et dans l'impossibilité de remonter, et à peine plus loin un de ces mômes zombifiés qui s'acharnait sur les restes d'un bras. J'avais eu l'honneur de les décapiter tous aussi facilement les uns que les autres, m'offrent mon petit entrainement quotidien. Important ? Oui. Car quand on croise une horde de ces bestioles et qu'elles n'ont pas bouffer depuis un bout de temps, on est bien content d'avoir eu de quoi sous la main pour s'échauffer un peu.

    La ville avait l'air déserte, mais je ne descendais pas de mon vélo tout terrain pour autant. Dans des lieux pareils, il y avait toujours des coins sombres et des ruelles cachées, et on ne savait jamais ce qui pouvait en débouler. Alors prudente, je circulais au beau milieu d'une rue autrefois piétonne.
    Une journée bénite, sans doute. Une bibliothèque coincée entre de vieux établissements délabrés trônait justement dans cette allée. Une odeur fétide m’embaumait alors que je franchissais le seuil avec précaution, ma faux dans le dos et un de nombreux flingues que j'avais récolté au fil du temps. Pourquoi entrer dans un truc pareil ? Pour l'espoir. Trouver une carte pour me repérer et cibler des petits villages assez éloignés des métropoles pour être potentiellement habités par autre chose que ces cadavres animés. Je refermais la porte derrière moi.

    L'intérieur avait été saccagé depuis un petit moment à en juger par la poussière qui recouvrait le sol. Quelque par entre les rayons encore debout, je trouvais enfin la cause de l'odeur effroyable qui avait ratatiné mes narines. Des morceaux divers de corps étaient éparpillés devant moi. Des corps en putréfaction et un des seuls êtres vivants qui avait son avantage dans l'histoire voletait autour : des mouches grosses comme un ongle. C'était tout bonnement immonde.

    Alors je décidais de faire demi tour et de chercher des cartes dans les rayons encore en état, prenant au passage un ou deux bouquins contre l'ennui. Je devais être une des seules personnes au monde à ressentir encore de l'ennui sur cette terre dégueulasse.

    Des bruits de pas dans la rue. Abandonnant les bouquins dans un coin, je ne sursautais pas, trop habituée à ces saloperies qui rôdaient toujours aux endroits où on s'y attendait pas. Sans réfléchir, je me dirigeais vers une des fenêtres cassées qui ouvraient sur l'allée que j'avais empruntée et où j'avais laissé mon véhicule deux roues. Rien à voir avec ce que je croyais. En fait, j'étais carrément sur le cul. Une autre expression n'aurait pas mieux collé à mon état.

    Un type filait droit devant moi sans me voir. Sa dégaine n'avait rien de monstrueuse. C'était absolument incroyable pour moi. Tellement que je n'avais pas pu y croire. Je me faisais forcément des idées. Il devait s'agir d'un nouveau contaminé qui n'avait pas les membres assez pourri pour devoir se trainer. Mon premier réflexe : pointer mon arme droit sur la tête du "Faux espoir numéro 1". Faux espoir...
    Je détaillais un peu plus sa silhouette. Il n'avait franchement pas l'air de... "Et puis merde Evane, tu vas pas butter la seule once de lumière qui se pointe !" Un monologue intérieur qui me fit baisser mon arme sans que je m'en rende compte. N'oublions pas que, jusqu'à présent, j'avais eu une chance folle.

    "Et maintenant, j'fais quoi ?" Eh bah je le suis. Voilà que je me mettais maintenant à suivre un possible mort-vivant dans l'ombre des rues où il semblait jeter un œil à son passage. Non décidément, Faux Espoir numéro un avait tout d'un humain. Enfin, d'un humain encore en bon état.




Dernière édition par Evane Owen le Ven 27 Avr - 21:21, édité 1 fois
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Omar Grant

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MessageSujet: Re: Faux Espoir n°1 [Omar]   Faux Espoir n°1 [Omar] I_icon_minitimeJeu 26 Avr - 22:17

Cette petite virée solitaire, Danny a tout fait pour l’en dissuader et le convaincre de l’accompagner, cherchant même jusqu’à le piéger en le confrontant à ses propres règles. « Règle numéro 3 : Le clan reste toujours uni et se protège les uns les autres. Personne ne vole en solo. » Ouai… « Et ben règle numéro 4 : Omar ne se soumet pas à la règle numéro 3 et n’a pas besoin de baby sitter pour se protéger. ». Il a tellement sortie de nouvelles règles improvisées après chaque péripéties qu’il est de toute façon le premier à ne plus se souvenir de la plupart d’elle… La raison de cette escapade est pourtant simple à piger : Le clan a pris demeure d’une réserve d’armes de l’armée en ville et commence à sérieusement manqué de vivres. Soupçonnant d’autres survivants d’être dans le coin sur le coup et de cibler le stock de flingues conséquent, Omar préfère qu’ils restent là et le défendent en cas d’attaque que de se le faire siffler pour quelques denrées qu’ils finiront de toute façon par avoir. Priorité aux armes, priorité au clan… Et même s’il lui arrive un jour quelque chose, Omar sait qu’il peut compter sur Danny et sa bande pour reprendre son flambeau et continuer le combat. Trop fier, c’est donc durag sur la tête, gilet pare-balle autour du buste et grand imper’ par-dessus que l’homme est partit le fusil en main parcourir quelques grandes avenues proches en quête de commerces éventrés ou abandonnés le temps qu’ils ne remplissent le 4x4 de munitions et d’armes avant de se remettre en route.

Comme bien souvent ailleurs, les rues de Knoxville sont désertes et la plupart des petites affaires, déjà dépouillées de leurs biens… Cela le conforte dans son pressentiment que d’autres humains, des pilleurs sont déjà passés dans le coin… Et y sont peut-être encore. Il est d’autant plus sur ses gardes. Omar se méfie presque plus des hommes que ces tronches de morts qui veulent les dévorer. L’humain est mauvais, perfide et fourbe par nature… Le zombie n’obéit qu’à sa dalle et ça le rend plus frontal, plus direct. On peut au moins leur accorder ce « mérite »… Un mérite que partage Omar et qu’il illustre en ce moment même en fouillant chaque commerce de fond en comble à la recherche du moindre aliment, du moindre objet utile. Mais là aussi… C’est le désert. Tout ce que l’homme trouve à se mettre sous la dent, ou plutôt autour du poignet, c’est une jolie montre de luxe sur laquelle sa mentalité du ghetto passée ne peut s’empêcher de jeter son dévolu. Aujourd’hui, l’heure et le temps en général n’ont plus beaucoup de sens… Mais la classe, elle, en garde toujours pour Omar. En sortant de cette boutique qui devait être un prêteur sur gage, il ressent pourtant rapidement une drôle d’impression dans le silence quasi-religieux qui règne sur cette avenue. Il y a un truc qui cloche… Un truc qu’il ne sent pas. Immobile, les sourcils froncés de méfiance balayant toute la rue du regard du regard autour de lui, il a ce drôle de pressentiment de ne plus être si seul.

Omar a toujours été quelque peu parano, souvent à juste raison, et c’est probablement d’ailleurs grâce à cela qu’il est aujourd’hui toujours en vie aujourd’hui malgré le caractère de ses vies présente et passée. Non, là il sent vraiment quelque chose de pas clair dans l’atmosphère de cet interminable boulevard. Il pense d’abord à une filature de Danny ou des autres pour « veiller » sur lui à distance, malgré ses instructions. « Allez leur dire vous autres ! … Omar a pas peur d’affronter le premier qui aura les burnes de descendre avec lui dans la rue ! … Hein ?! … Omar se cache pas ! … Moi j’suis là ! … Tous les jours ; Dans la rue ! » *TSHIK TSHIK* Le bruit de la pression qu’il imprime sèchement sur la garde de son fusil pour le charger d’une cartouche vient ponctuer – frapper même – à point le dernier mot de son petit égotrip vociféré à l’aveugle et qui résonnent toujours dans ce désert urbain… Le canon pointé en avant, il tourne lentement sur lui-même, scrutant la moindre porte, le moindre horizon d’où pourrait sortir n’importe quel exosquelette. Si quelqu’un l’observe, il s’agit forcément d’un humain… Une face de mort se serait déjà ruée bêtement et aveuglement sur lui pour le croquer. Soudain, des sons, sortes de grattements, se précisent vers ce qui semble être une cave et détournent son attention avec le canon de son fusil à pompe dans cette direction… Lentement, Omar se rapproche alors de la porte métallique qui le sépare de ce qui semble avoir été attiré par sa clameur et qui manifestement cherche à sortir…

« J’te conseille d’ouvrir cette porte, parce que je vais souffler dessus ! » peste-t-il avec la même verve sèche. L’homme laisse passer quelques secondes avant de se rendre à l’évidence que rien ne sortira de ce trou sans qu’il l’y oblige. Comme tu voudras… D’une main, il tire brutalement sur la poignée et recule dans la foulée de trois pas pour mieux braquer son fusil sur ce qu’il découvre à l’intérieur… « Waouf ! » Un chien… Un… putain… de clébard ! Il ne sait pas depuis combien de temps le quadrupède devait être enfermé là-dedans, mais en tout cas suffisamment pour ne pas s’être fait bouffé et muté par les rodeurs. Loin d’être sauvage, il semble même plutôt domestiqué lorsqu’il file directement dans ses pieds et se dresse pour lui faire la fête. Ce chien a certainement du perdre ses maitres et doit maintenant attendre depuis un bout de temps de retrouver un visage humain. Omar soupire, désabusé par le faux thriller qui lui a pris avec cette porte... pour un putain de chien. « Tu ferais bien de te tirer le cleps… » glisse-t-il en remettant son fusil en bandoulière. Le temps de sortir son paquet de clopes dans une poche de son imper’, de s’en glisser une entre les lèvres et de l’allumer, Omar se remet en chemin et continue d’avancer sur l’avenue. Seulement voilà, après une petite vingtaine de mètres, le bruit de quatre pattes faisant cliqueter des ongles sur le goudron derrière lui l’interpelle et l’arrête. C’est le chien qui le suit…

« Arrête de me suivre… Profites de ta liberté, va chercher un os, je suis sûr qu’y en a plein dans l’coin… » lui lance-t-il une fois retourné avant de tirer une taffe de sa clope en secouant négativement la tête et tourner à nouveau les talons pour reprendre son chemin… Le voilà qui parle à un chien… Ce monde a véritablement craqué. Dix mètres, et à nouveau ses cliquetis de pattes… Cette fois, il s’arrête et se retourne de manière beaucoup plus vive pour s’emparer de son fusil et le braquer sur l’animal *TSHIK TSHIK* « Tu fais chier, c’est quoi ton problème ?! Casse toi merde ! » lui hurle-t-il dessus, provoquant des couinements de chien martyrisé alors qu’il se met enfin à cavaler en sens inverse de peur. Pas trop tôt… « Pot de colle… » se murmure-t-il en repartant une nouvelle fois. Son dévolu se jette rapidement sur une librairie, la première qu’il croise depuis un paquet de temps. Omar espère y trouver quelques livres d’inspiration pour ses compagnons de route et lui, des œuvres qui pourrait leur donner du baume au cœur et leur rappeler ce pour quoi il se batte, le monde d’avant… Arrivé devant les portes, il s’arrête et prend le temps de tirer une nouvelle fois sur sa tige. « Waouf ! Waouf ! » Encore ce chien… Bien, visiblement, il ne semble pas prêt à le lâcher… Il faut dire qu’enfermé dans cette cave depuis des jours, peut-être des semaines, il doit avoir la dalle…

« Très bien… “Joe”… J’ai peut-être un petit quelque chose pour toi, pour que tu me fiches la paix… » soupire-t-il en s’accroupissant pour sortir une barre de chocolat de sa poche et en défaire l’emballage. En réalité, il ne pense pas que c’est tout l’inverse qui peut se passer et qu’en lui donnant à manger, ce chien va l’adopter encore plus et le considérer comme un nouveau maitre… Surtout qu’il lui a déjà trouvé un nom. « Joe »… L’animal trottine sans plus attendre vers lui pour venir manger la barre chocolatée dans ses mains et hérite même de quelques caresses sur son poil... Il commence à bien l'aimer ce nouveau compagnon forcé. Une fois la dernière bouchée avalée ou plutôt engloutie, Omar se redresse et tire une dernière fois sur sa cigarette avant de la jeter à ses pieds et l’écraser avec son talon tout en recrachant lentement la fumée entre ses lèvres. « J’ai un truc à faire … Y a rien à bouffer pour toi là-dedans, et il se pourrait bien qu’y ait des molosses plus vilains que toi… Alors tu vas m’attendre là… » glisse-t-il avant de reprendre son fusil en main… Un violent coup de pompe envoyée dans la porte l’enfonce sèchement de la semelle et lui ouvre la bibliothèque. Le chien file directement à l’intérieur et disparait déjà dans les rayons. « Evidemment… » souffle-t-il en remuant la tête négativement, dépité, avant d’entrer à son tour et avancer, le fusil pointé sur tous les recoins qu’il se met à vérifier… Jamais trop de prudence. Heureusement qu’il lui a dit de l’attendre là. « Couché », ça lui aurait peut-être plus parlé… Tête de mule ce cleps... Au fond, ils sont peut-être faits pour s’entendre après tout… En tout cas, Joe peut lui être utile. S’il trouve quelqu’un ou quelque chose à manger, Omar le saura de loin et ne risque pas de se faire surprendre par quoi que ce soit avec cet éclaireur improvisé…


Dernière édition par Omar Grant le Ven 27 Avr - 22:12, édité 1 fois
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Evane Owen

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MessageSujet: Re: Faux Espoir n°1 [Omar]   Faux Espoir n°1 [Omar] I_icon_minitimeVen 27 Avr - 21:55

    Le type parlait. Oui, il s'exprimait humainement, de façon à peu près civilisée. Et en plus de ça, il faisait un sacré boucan. Mais impossible pour moi de lui prier de faire moins de bruit avec ses énormes cordes vocales. Si je voulais rester dans l'ombre et l'observer, il fallait que je supporte le vacarme, que je prenne mon mal en patience.
    Je le regardais faire avec le chien. Il m'avait d'abord semblé trop agressif à mon goût, trop louche. Mais après tout, qui ne le serait pas dans cet enfer ? J'avais tout de même ressenti un frisson. "Peut-être qu'il s'est fait contaminé et qu'il est sur la voie ?" Puis il s'est adouci. Quelques marques d'affections avaient réussies à m'ôter ces idées de la tête. On devenait vraiment paranoïaque avec le temps... Ou peut-être que sa réaction m'avait parue étrange face au chien. Pour moi, il était le représentant d'un miracle, comme quoi la vie pouvait persister sur une planète aussi infecte que la nôtre. Oui, c'était sans doute ça, j'avais été brouillée par ma symbolique. Joe le chien du faux espoir numéro un.

    J'avais du décamper en quatrième vitesse dans les rayons de la bibliothèque, évitant celui qui sentait la vieille cervelle et d'où provenait un espèce de bourdonnement décidément très désagréable. Il n'avait pas fait semblant d'ouvrir, lui. Dans un coup de feu, il avait déboulé comme ça, sans plus de précaution, comme si de toute manière quoi qu'il arrive, il s'en chargerait avec la plus grande des facilitées. Alors je tentais de le regarder du fond de la pièce, sans qu'il puisse me voir. Mais par manque de chance... Comme si Joe n'avait existé que pour ça, le chien avait tout de suite senti mon odeur et manifestement, il n'en loupait pas une. Il me sauta littéralement dessus et me badigeonna les bras de sa longue langue rapeuse. Qu'est-ce que je pouvais bien faire, hein ? "Putain, Joe, non..." J'avais chuchoté, mais dans tous les cas, il allait de soit que j'étais repérée. Je n'avais pas pu l'observer bien longtemps, le gars. En plus de ça, il n'avait pas l'air d'être le mec le plus fin du monde et il allait presque de soit qu'il n'attendrait pas de voir si j'étais zombie ou non pour me tirer dessus. Alors quoi ? J'étais censée débouler comme ça avec mon petit drapeau blanc ? Certainement pas. Là, je n'avais que deux solution. Ou bien je fuyais et perdais la seule ombre de vie que j'avais vue depuis plus d'un an, ou bien je restais et risquais de me faire descendre... "Bon, il n'a pas eu le reflex d'abattre le chien alors... Supposons qu'il ne soit pas si réactif que ça..."
    Je me forçais donc à parler à voix haute entre deux coups de langues de Joe.

    -Dis, euh... Tu pourrais éviter de me flinguer ?


    Une approche foutuement maladroite, mais alors, comme c'était bon de s'adresser à quelqu'un... J'étais peut-être complètement inconsciente, mais tant pis, j'étais lancée. Je riais de la situation et surtout à cause du chien qui était complètement fou de joie.

    - Arête, Joe !

    C'était tout simplement ridicule comme situation, surtout dans un contexte comme celui-là. Mais bon sang ! Qu'est-ce que ça faisait du bien !



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